Les deux journalistes, qui ont interviewé Emmanuel Macron dimanche soir, ont été la cible de nombreux reproches sur les réseaux sociaux.
On reproche à Edwy Plenel par exemple de ne pas avoir appelé le chef de l'Etat "Monsieur le Président". Pour le fondateur de Mediapart : "L'interview présidentielle en France est une interview monarchique. Notre objectif tout simple, c'était d'abord de casser ça (...) Je pense que si quelqu’un a des intervieweurs qui cassent les codes, il est meilleur ! Nous on fait notre job et lui, s’il aime ça, il est meilleur."
Pour le "démago" Jean-Jacques Bourdin (BFMTV) : "Je sais que toute la profession va nous tomber dessus. Et alors ? Je m'en moque. Ce qu’il faut dans une interview avec un président de la République, mais comme avec un leader de l’opposition, c’est ne pas être au service de l’interviewé mais poser les questions qu’on a envie de poser."
On reproche à Edwy Plenel par exemple de ne pas avoir appelé le chef de l'Etat "Monsieur le Président". Pour le fondateur de Mediapart : "L'interview présidentielle en France est une interview monarchique. Notre objectif tout simple, c'était d'abord de casser ça (...) Je pense que si quelqu’un a des intervieweurs qui cassent les codes, il est meilleur ! Nous on fait notre job et lui, s’il aime ça, il est meilleur."
Pour le "démago" Jean-Jacques Bourdin (BFMTV) : "Je sais que toute la profession va nous tomber dessus. Et alors ? Je m'en moque. Ce qu’il faut dans une interview avec un président de la République, mais comme avec un leader de l’opposition, c’est ne pas être au service de l’interviewé mais poser les questions qu’on a envie de poser."
