On croit halluciner mais hélas c'est la réalité. Le cinéaste Franco-Polonais menace en des termes clairs et nets en direct devant les caméras la journaliste Léa Salamé : "Je vais vous pulvériser", lui lance-il. Le cinéaste accusé d'avoir violé en 1977 une jeune fille de 13 ans lors d'une séance photo à Los Angeles se comporte toujours comme un homme au-dessus des Lois.
Bien que visé par un mandat d'arrêt international pour viol d'une mineure lancé par Interpol, il a toujours bénéficié des faveurs de ce soi-disant Etat de Droit qu'est notre pays la France.
Polanski admet certes avoir eu des relations sexuelles avec Samantha Geimer alors âgée de 13 ans, mais récuse toujours l'accusation de viol.
Cela fait plus de 40 ans qu'il vit sous protection. À aucun moment, il n'a été convoqué par la justice française. Pas de garde à vue. Même pas une simple audition. Rien. Wallou. Nothing. Que dalle.
Il faut appeler un chat un chat quitte à froisser les sensibilités des uns et des autres : le cinéaste Franco-Polonais bénéficie d'une impunité totale sur le territoire français.
L'ordre vient d'en haut, du sommet de la sphère politique, elle même mise sous pression par on ne sait quel groupe, par on ne sait quel lobby missionné pour le couvrir.
L'année dernière, invité par une émission télé, notre bonhomme fit même dans la récidive en menaçant clairement Léa Salamé: " Je vais vous pulvériser" dit-il à la journaliste qui voulait lui poser quelques questions sur son passé.
À ce jour, Roman Polanski fait encore l'objet de ce mandat d'arrêt international. La France le protège toujours contre vents et marrées. Les États-Unis et la France sont pourtant signataires d'accords d'extraditions de criminels recherchés par la police des deux pays.
Une question légitime s'impose : sommes-nous vraiment tous égaux devant la justice de ce pays ? À franchement parler, non.
Ce soir, à la salle Pleyel, rue du Faubourg Saint Honoré à Paris, se tient la cérémonie des Césars. La rue est bouclée, la circulation des voitures interdite. Mais pas que ça. Les riverains sont obligés de faire un long détour pour rentrer chez eux.
Habitant cette rue non loin de cette salle, j'étais obligé de faire des centaines de mètres de plus pour rentrer chez moi. Crainte des attentats ou c'est juste pour mettre Polanski à l'abri des huées ?
Habituellement, on interdit la circulation aux véhicules mais on laisse les badauds prendre des clichés des stars. Cette année, c'est niet pour tout le monde. Énorme déception pour certains.
Polanski admet certes avoir eu des relations sexuelles avec Samantha Geimer alors âgée de 13 ans, mais récuse toujours l'accusation de viol.
Cela fait plus de 40 ans qu'il vit sous protection. À aucun moment, il n'a été convoqué par la justice française. Pas de garde à vue. Même pas une simple audition. Rien. Wallou. Nothing. Que dalle.
Il faut appeler un chat un chat quitte à froisser les sensibilités des uns et des autres : le cinéaste Franco-Polonais bénéficie d'une impunité totale sur le territoire français.
L'ordre vient d'en haut, du sommet de la sphère politique, elle même mise sous pression par on ne sait quel groupe, par on ne sait quel lobby missionné pour le couvrir.
L'année dernière, invité par une émission télé, notre bonhomme fit même dans la récidive en menaçant clairement Léa Salamé: " Je vais vous pulvériser" dit-il à la journaliste qui voulait lui poser quelques questions sur son passé.
À ce jour, Roman Polanski fait encore l'objet de ce mandat d'arrêt international. La France le protège toujours contre vents et marrées. Les États-Unis et la France sont pourtant signataires d'accords d'extraditions de criminels recherchés par la police des deux pays.
Une question légitime s'impose : sommes-nous vraiment tous égaux devant la justice de ce pays ? À franchement parler, non.
Ce soir, à la salle Pleyel, rue du Faubourg Saint Honoré à Paris, se tient la cérémonie des Césars. La rue est bouclée, la circulation des voitures interdite. Mais pas que ça. Les riverains sont obligés de faire un long détour pour rentrer chez eux.
Habitant cette rue non loin de cette salle, j'étais obligé de faire des centaines de mètres de plus pour rentrer chez moi. Crainte des attentats ou c'est juste pour mettre Polanski à l'abri des huées ?
Habituellement, on interdit la circulation aux véhicules mais on laisse les badauds prendre des clichés des stars. Cette année, c'est niet pour tout le monde. Énorme déception pour certains.

La rue du Faubourg Saint-Honoré totalement interdite à la circulation
Dans un premier temps, l'auteur du "Pianiste" avait été désigné pour présider la cérémonie des Césars. Sous la pression du public, Roman Polanski se désista.
Ce soir, je constate avec amertume que ce Monsieur bénéficie toujours de privilèges doublés de passe-droits. Il s'avère que les justiciables dans mon pays, la France, ne sont pas tous logés à la même enseigne.
Mais où sont les procureurs de Paris ? Où sont les magistrats ? Où sont les juges d'instruction de cet "État de Droit" ? Elle est où cette Justice pourtant si prompte à s'acharner sur les étrangers et les plus faibles ?